Les graffiti sont une pratique ancienne, existant déjà avant Jésus-Christ. Remontant même plus loin, les graffiti étaient déjà une activité préhistorique.
– Histoire du street art
Plus vieux dessin du monde – 73 000 ans / Grotte de Blombos – Afrique du Sud
Fragment de silcrète portant sur l’une de ses faces un dessin composé de neuf lignes tracées au crayon d’ocre.
Art pariétal (ensemble des œuvres réalisées par l’Homme sur des parois de grotte ou abris sous roche) / + 40 000 ans
Les premiers travaux sur le graffiti ont été faits par Antonio Bosio, au XVIIe siècle, sur les catacombes romaines.
Le plus célèbre des divulgateurs de graffiti anciens reste le Père jésuite Raffaele Garrucci. Au milieu du XIXe siècle, il publia ses études sur Pompéi et sur Rome.
Qu’ils soient lubriques, amoureux, poétiques, humoristiques ou politiques, les graffitis gallo-romains sont comme ceux d’aujourd’hui : effrontés et familiers, tracés dans l’impulsion d’un moment. Ils reflètent la vie, ses petits tracas et ses grandes passions.
En marge des grands événements historiques, ils expriment les triviales préoccupations des sans-grade: une infinité de petites histoires, immuables et simplement humaines, largement aussi instructives que l’Histoire majuscule.
Sur les parois de leur salle de classe, des enfants gravent des exercices d’écriture et des citations grecques ou latines. D’autres dessinent des animaux et des bonshommes. Les plus âgés croquent des combats de gladiateurs, des portraits caricaturés ou leurs fantasmes sexuels. Ils inscrivent une liste d’achats, des messages aux dieux, des injures ou des mots d’amour.
De l’Agora d’Athènes, au VIe siècle avant Jésus-Christ, ou de la Vallée des Rois en Égypte, jusqu’à nos églises européennes du Moyen-Age ou les prisons françaises du XVIIIe siècle, un peut partout, les observateurs débusquent des graffiti».
Agora / Athènes
AGIT-PROP 1917
La démarche AGIT-PROP (de « Agitatsya » – agitation, et « Propaganda » – propagande) est née de la révolution russe de 1917 et a pour vocation d’informer et de former la population russe, largement analphabète, grâce au réseau ferroviaire.
Brassaï (1899-1984) – France 1933
C’est dès 1930 que le Hongrois Gyula Halász, alias « Brassaï » commence à s’intéresser aux graffiti. Il publie des photos de ses neufs premiers graffiti dès 1933 dans la Revuesurréaliste Minotaure.
Le 14 janvier 1941, depuis Londres, l’ancien ministre belge Victor de Laveleye lance la « campagne des V » en demandant à ses compatriotes de graffiter des « V » partout où ils le peuvent. V pour « victoire » mais aussi pour Vrijheid (« Liberté »). Le succès dépasse de loin les frontières de la Belgique et des petits « V » sont gravés, peints ou dessinés dans toute l’Europe. Le principe sera repris après-guerre, dans l’Espagne de Franco, où l’on pourra lire des « P », pour « Protester ».
« Kilroy was here » – Détroit 1942
En 1942, un ouvrier américain nommé Kilroy, qui travaillait dans une usine de bombes basée à Detroit, écrit « Kilroy was here » (« Kilroy est passé par là » en VF) sur les pièces qui déroulent le long de sa chaîne de production. Du coup, les bombes étaient larguées avec ce slogan ironique et vengeur, et Kilroy s’est vite taillé une belle réputation de patriote chez les soldats, qui en réponse écrivaient « Kilroy was here » sur les murs qu’ils croisaient.
« Ne travaillez jamais » est un slogan écrit sur un mur parisien, rue de Seine, en 1953, par l’écrivain, théoricien, cinéaste et poète Guy Debord.
Roi de Kowloon – Chine 1955
Le chinois Tsang Tsou Choi, dit le « Roi de Kowloon » ( 1921- 2007) fut connu à Hong Kong pour ses graffitis calligraphiques.
C’est à 35 ans, en 1955, qu’il commence à couvrir les rues de kowloon de ses inscriptions. Il affirmera toute sa vie avoir trouvé des documents attestant que ses ancêtres possédaient ce qui est plus tard devenu Kowloon, et donc qu’il était le propriétaire légitime des lieux. Ses affirmations n’ont jamais pu être étayées.
Souvent considéré comme fou, arrêté à plusieurs reprises par la police, abandonné par sa femme, Tsang Tsou Choi continua toute sa vie inlassablement à peindre ses graffitis. Il utilisait ses inscriptions pour clamer son territoire à travers les rues de Kowloon. Ses graffitis comprenaient généralement une liste de ses ancêtres, ses titres tels que roi ou empereur de Kowloon, de Hong Kong ou même de Chine, et parfois des formules dénigrant ses rivaux pour le trône de Kowloon, telles que « à bas la reine d’Angleterre ».
Longtemps toléré mais peu considéré, Tsang fut élu comme l’une des dix personnalités les moins influentes par un magazine de Hong Kong. Mais la reconnaissance arriva dans les années 1990, où il fut considéré comme un précurseur du graffiti et un artiste; son œuvre fut ainsi présentée lors de la biennale de Venise en 2003, et ses calligraphies réutilisées par des designers sur de nombreux supports.
Brassaï / MoMA – 1956
Language of the Wall : Parisian Graffiti photographed by Brassaï
En 1956, sous le titre «Language of the Wall : Parisian Graffiti photographed by Brassaï», le MoMA présenta 112 photographies de graffiti de Brassaï .
La série de graffitis devient oeuvre et pour la première fois entre dans un musée.
Les graffitis sont classés en neuf grands chapitres : «propositions du mur», «le langage du mur», «la naissance de l’homme», «masques et visages», «animaux», «amour», «la mort», «la magie», et «images primitives»
L’exposition sera reprise en 1958 par l’Institute of Contemporary Art de Londres, dirigé par Roland Penrose puis partiellement par Daniel Cordier dans sa galerie parisienne en 1962 .
Sortie en 1961 du Livre « Graffiti » de Brassaï
Première évocation du graffiti comme un art.
Brassaï : « Graver sur un mur, c’est retrouver l’antique geste humain et aussi l’antique façon de découvrir le monde. »
Le 17 octobre 1961, en pleine guerre d’Algérie le Front de Libération National appelle les Algériens à manifester pacifiquement à Paris pour demander l’indépendance de l’Algérie et l’arrêt du couvre-feu qui les vise. La répression ordonnée par Maurice Papon est sanglante. Plusieurs dizaines d’Algériens, peut-être plus de 200, sont tués, certains sont jetés dans la Seine, c’est ce massacre qui est dénoncé trois semaines plus tard par le graffiti sur les quais de Seine.
Guerre de libération nationale – Algérie 1962
Gérard Zlotykamien – Paris/France – 1963
En 1963, Gérard Zlotykamien, alias Zloty, expose pour la première fois à la Biennale de Paris, à laquelle participe aussi Arroyo. Ce dernier se fait censurer par le gouvernement pour avoir osé représenter « quatre dictateurs ». Cela révolte Zloty qui commence alors à peindre dans l’immense chantier dit du « trou des Halles » à Paris, où il peut peindre ce qu’il veut.
Il devient ainsi l’un des pionniers de l’art urbain.
Cornbread (Darryl A.McCray) – Philadelphie – 1965>1972
Surnommé « Le parrain du Graffiti », Cornbread est l’artiste ayant fait du graff moderne ce qu’il est aujourd’hui. Il est en effet le 1er writer à répéter son alias aux États-Unis. sa signature est un « tag » surmonté d’une couronne juste au dessus du « B » de son pseudonyme, qu’il s’est d’ailleurs auto-octroyé puisqu’il adorait ces petits pains au goût sucré que sa grand-mère lui concoctait.
tout débute en 1965 : Amoureux d’une fille de son âge, Cynthia Custuss, et maladivement timide, il lui déclare son amour en peignant inlassablement Cornbread Loves Cynthia sur les murs de son école et de son quartier.
En 1971, la presse le proclame mort. Pour prouver à la population qu’il était bien vivant, il se rendit en douce au zoo local et peignit « Cornbread lives » (Cornbread est vivant) sur les flancs d’un éléphant.
Ernest Pignon Ernest – Vaucluse/France – 1966
Ernest Pignon Ernest crée des images éphémères sur les murs des grandes villes, qui se font l’écho des événements qui s’y sont déroulés. Il est le premier à transformer les murs en œuvres d’art.
La première intervention dans l’espace public d’Ernest Pignon Ernest date de 1966 : il colle des affiches avec une inquiétante ombre humaine. Il dénonce l’installation des missiles nucléaires sous les champs de lavande du plateau d’Albion, dans le Vaucluse.
Manifestations étudiantes et de grèves générales – FRANCE – mai 1968
TAKI 183 – précurseur du tag Newyorkais – pose son pemier tag en 1969.
À l’été 1969, Démétrius s’ennuyait. Il vivait dans la banlieue nord de Harlem, dans un quartier peuplé d’enfants grecs, comme lui, et d’une population croissante de Cubains, de Dominicains et de Portoricains. Le gang des Savage Nomads avait son siège à un pâté de maison, mais ils ne dérangeaient pas les locaux. Un après-midi de cet été-là, Phil, l’ami de Demetrius, se retrouva au 183e rang et avait des nouvelles pour Demetrius et son ami Greg. Un enfant à Inwood, à 20 rues au nord, écrivait son nom et son numéro de rue: JULIO 204. Demetrius et Greg trouvaient cela plutôt cool. Ils ont tous commencé à écrire leurs noms. Demetrius a écrit «TAKI», un diminutif pour un certain nombre de noms grecs et son numéro de rue. À l’automne 1970, TAKI est allé au lycée à Midtown Manhattan, prenant le train 1 en aller-retour. En cours de route, il écrivit TAKI 183 dans les stations de métro et partout où il pensait être un bon endroit. Il avait vu les affiches et les autocollants électoraux collés autour de la ville en 1968, puis à nouveau en 1970, et imitait leur tactique de campagne.
SAMO© – New York 1977>1979
SAMO© est un collectif d’artistes fondé par Basquiat (15 ans) et ses amis Al Diaz et Shannon Dawson en 1976. Tous trois dispersent aux quatre coins de ces quartiers, des phrases énigmatiques tantôt philosophiques, tantôt politiques qui interrogent le passant. C’est l’affichage d’un désenchantement, d’ailleurs c’est bien ce que signifie « SAMO© », l’argot utilisé dans les quartiers populaires, abréviation de « Same Old Shit ». La même vieille routine. La société de consommation est moquée par l’ajout du sigle du copyright.
The Rise of graffiti writing : Des Etats-Unis à l’Europe
Une série documentaire en 10 épisodes pour retracer l’histoire du graffiti : des débuts dans le Bronx du New-York des années 70 jusqu’à la percée du virus en Europe comme une trainée de poudre dès 1983. Puis sur tout le continent.
SUBWAY ART – 1984
Sorti en 1984, Subway Art fait l’effet d’une bombe, qui va permettre au graffiti de sortir de New York pour se répandre dans le reste du monde. A travers l’œil des photographes Henry Chalfant et Martha Cooper, la scène du métro de NYC dans les années 80 se dévoile aux yeux de tous, avec toutes les légendes du Graffiti Art.
Mur de Berlin – 1961/1989 – pionnier des frontières graffées
De 1961 à 1989, les tags se multiplient sur la face ouest du mur ( Haut de 3,6 mètres, encadré par 302 miradors et dispositifs d’alarme, protégé par 14 000 gardes), la seule accessible, à condition de déjouer la surveillance. On retrouve là beaucoup de slogans de paix ou de colère, transformant le béton en défouloir.
Au fil du temps, on y trouve des lettrages plus travaillés, inspirés des graffeurs américains du début des années 1980, ainsi que quelques grands noms de ce qui deviendra le «street art». Le Français Thierry Noir sera le premier d’entre eux, en 1984.
20 ans de graffiti à Paris de 1983 à 2003
WRITERS, de Marc-Aurèle Vecchione (2004), retrace 20 ans de graffiti à Paris de 1983 à 2003. Un documentaire de référence, raconté par Vincent Cassel en voix off.
1990 : Génération rap, tag et NTM | Archive INA
Graffiti – Ethymologie
Le substantif masculin « graffiti » est un emprunt à l’italien graffiti ( 1856 -Le P. Raphaël Garrucci, Graffiti de Pompéi ), pluriel de graffito, dérivé de grafio, du latin graphium (« éraflure ») qui tire son étymologie du grec graphein (γράφειν) qui signifie indifféremment écrire, dessiner ou peindre.
Tag
Le mot « tag » est un terme anglais. Il est traduit en français par « étiquette ». Qui dit étiquette dit identification. Le tag est la forme originelle et primitive du graffiti. C’est juste une signature, qui répond à un code imposé. Elle doit être unique, immuable et stylisée.
C’est l’américain Phase 2 qui aura le premier l’idée de dessiner le contour des lettres de son nom, invente notamment le style bubble (lettres arrondies) , pouvant ensuite remplir chacune d’elles avec de la couleur.
- Choisissez votre « blaze » (votre nom qui servira pour la signature) et éventuellement un chiffre en plus. Par exemple : Julio 204, TAKI183
- Écrivez votre blaze en lettres capitales basiques, c’est à dire en majuscules droites.
- Commencez à chercher des inclinaisons, des similitudes et différences à exploiter entre les lettres.
- Faites les exercices ci-dessous.
Au début, privilégiez la lisibilité. L’objectif c’est d’être lu par le plus grand nombre.
Vous travaillerez et affinerez votre tag au fil du temps. Prenez votre temps ! Les styles des tags de chacun évolue tout au long de la vie d’un « writer ».
Trouver son style d’alphabet : Isolez vos lettres et cherchez le style qui vous convient le mieux. Et écrivez plusieurs fois votre tag pour voir s’il est fluide ou s’il coince, et ainsi l’améliorer. C’est l’UNITÉ de votre tag qui fera la différence.
Vous pouvez ensuite ajouter à votre tag, TOUT CE QUE VOUS VOULEZ.
Le Throw-Up ou « flop » est l’une des formes du graffiti : il prend la forme de lettres arrondies souvent tracées d’une traite avec un remplissage simple.
Il existe de nombreuses techniques de graffiti ou d’art de rue assimilables, telles que :
- la peinture aérosol (à la bombe de peinture, avec ou sans pochoir – support où l’illustration à reproduire est découpée, en négatif)
- la peinture à l’aérographe (méthode de peinture qui est basée sur le même principe que celui du pistolet à peinture utilisé par les carrossiers)
- la gravure (sur des vitres, sur des murs, sur des plaques métalliques, sur l’écorce des arbres, etc.)
- le marqueur et le stylo
- la craie
- la peinture au rouleau ou au pinceau
- l’acide (pour vitre ou pour métal)
- l’affiche
- les stickers (autocollants)
- les moulages (en résine ou en plâtre collés sur les murs)
- la mosaïque (voir les Space Invaders).
- Le pochoir, « feuille de carton ou de métal découpée, pour colorier avec une brosse, le dessin ayant le contour de la découpure », apparaît dans le Larousse en 1874. Cette technique d’impression (ou technique picturale) permet de reproduire des caractères ou des motifs sur divers supports, plusieurs fois et de façon d’autant plus précise que la découpe des parties ajourées est faite proprement. Elle est utilisée depuis des siècles et ce à des fins très variées (décorative, éducative, industrielle, artistique, publicitaire, signalétique, de protestation ou même par commodité). L’utilisation de la technique du pochoir dans notre société est courante et peut passer inaperçue : on retrouve certains marquages publics comme « PAYANT » au pied d’une place de parking, les passages pour piétons ou ironiquement les « Défense d’afficher – Loi du 21 juillet 1881 ».
Outils : la bombe
Histoire de l’aérosol : Bien que l’idée de vaporiser des liquides fut ancienne, ce n’est qu’en 1929 qu’Erik Rotheim, un ingénieur norvégien, fit breveter l’utilisation d’un boîtier sous pression et muni d’une valve pour la diffusion d’une grande variété de produits.
Pour la production industrielle des premiers aérosols, il a fallu attendre la seconde guerre mondiale pour que deux chercheurs américains, Goodhue et Sullivan, en exploitant le brevet norvégien, répondent à l’attente de l’armée américaine de trouver une protection efficace contre les insectes et moustiques. Le premier aérosol industriel dispensait donc un insecticide et était destiné à usage militaire. En 1943, un brevet US est accordé à L.D. Goodhue et W.M. Sullivan.
Après la guerre, l’idée d’utiliser l’emballage aérosol pour des usages civils s’est peu à peu imposée.
Pour ce qui est de l’Europe:
– Le premier aérosol produit en Grande-Bretagne est arrivé dans le commerce en 1949, c’était un insecticide ;
– Le premier aérosol sur le marché allemand était une laque pour cheveux en 1955 ;
– L’industrie française des aérosols date également du milieu des années 1950 ;
– En Belgique, il a fallu attendre le début des années 60 pour voir les aérosols arriver sur le marché.
1 – gaz
2 – solvant
3 – pigments
+ bille de mélange
Agiter avant utilisation pour mélanger /Vor Gebrauch schütteln, um zu mischen / Shake well before use to mix
Purger après utilisation / nach Gebrauch reinigen / purge after use
Outils : Caps
Les capuchons (aussi appelés: buses, embouts, actionneurs, etc.) sont comme un pinceau pour un artiste. Ils viennent dans de nombreuses formes et couleurs et peuvent produire une variété de largeurs de trait, d’effets de pulvérisation et de volume de sortie total. Bien que la plupart des peintures en aérosol incluent une buse ou «cap», il est typique pour un peintre de retirer le «capuchon» et de le remplacer par un autre plus approprié. Utiliser le mauvais capuchon peut être comme écrire avec un crayon émoussé, ce qui entraîne des traits tremblants et non désirés. Cela peut aussi être comme essayer de peindre une maison avec un coton-tige. En utilisant les capuchons appropriés, vous obtiendrez les lignes nettes, précises et précises que vous recherchez, tout en accélérant les tâches plus volumineuses.
- Thins– pour peindre de petites surfaces, des détails fins, des lignes fines, des ombres claires, des reflets, etc.
- Outline – Contour – Spray de taille moyenne pour des lignes épurées
- Fats– Grand spray utilisé pour peindre de grandes surfaces, les remplir…
- Super Fats– Volume de sortie très important et rapide généralement utilisé pour le remplissage de très grandes surfaces sur une courte période.
- Calligraphy– Type de pointe carrée hors ligne. Les bouchons sont parfaits pour réaliser une écriture de type stylo calligraphique ou marqueur. Ils conviennent également à la peinture de meubles, de vélos, etc. L’extrémité transversale saillante peut être tournée pour obtenir un jet de pulvérisation à lignes verticales ou horizontales.
- Needle cap– Ce capuchon a une courte paille qui sort de sa zone de décharge. Ce tube mince permet à un très petit courant de peinture de pénétrer plus loin dans un motif de projections. Bon pour les effets de projections et les lignes de grande portée.
– Vidéos sur le street art –
- XArt – Cédric GODIN (Gratuit)
- Wild Style – Charlie AHEARN (Gratuit)
- Writers – Marc-Aurèle VECCHIONE (Gratuit)
- Wall writers – Roger GASTMAN (9,99€)
- Wholetrain – Florian GAAG (Gratuit)
- Faites le mur – Banksy (Gratuit)
- La Rébellion Éphémère – (Gratuit)
- Je peins donc t'essuies – Kinnie MARTIAL (Gratuit)
- Sky's the limit – Jérôme THOMAS (Apple TV)